Compte-rendu de Franche Comté

douche naturelle
douche naturelle

Comme Muriel et Simon ont eu la gentillesse de rédiger le compte-rendu des actions objectives faites en Franche Comté, je vais me centrer pour ma part sur l'atmosphère générale, les grands thèmes, et mes ressentis. Le compte-rendu de Muriel et Simon est disponible plus bas.

 

La Franche Comté est une région de grands paturages parsemés de forêts qui parfois ont l'air très denses.

De la vitre du TER, j'avais parfois l'impression d'être en Auvergne dans la région du Puit de dôme. Mais ces deux régions sont bien sûr très différentes par bien des aspects.

 

J'avais l'impression que la Franche Comté est plate et au niveau de la mer, mais c'est faux. Elle est en réalité criblée de collines et est en fait à 900 mètres environ au-dessus du niveau de la mer.

Première leçon. la Franche Comté est plate : c'est une apparence. La Franche Comté est une montagne : c'est la Réalité.

 

La montagne est une zone naturelle vibrante d'énergie. Je me souviens très bien d'un message de Khubya où celui-ci disait que les hommes allaient à la montagne ou à la mer pour se recharger... Parce que la Franche Comté est une montagne, on peut s'attendre à y trouver des endroits d'exception. Et ce fut le cas pour nous. Nous allâmes au Cirque de la Consolation.

 

Cet endroit est extrèmement particulier car il s'agit d'une cavité, une grande dépression dans la montagne de Franche Comté. En y allant, nous pouvions voir des falaises abruptes creusées par les rivières coulant dans ce cirque. C'est en voyant cela que j'ai compris que la Franche Comté n'est pas au niveau de la mer du tout.

 

Nous y trouvâmes une église avec des particularités de décor et vibratoires assez particulières. L'église avait été clairement construite par des illuminatis au vu des vibrations très basses dans l'église même, et j'y trouvai même le blason de la famille de Savoie au plafond (voir photo ci-dessous). Nous y trouvâmes d'un côté de la nef, le masculin. De l'autre côté le féminin. Le masculin était écrasant au dire de Valérie, tandis que le féminin résonnait mieux. Personnellement, je sentais bien les basses vibrations sous la forme d'une morosité persistante. Cependant, et c'est une grande nouvelle, je la sentais en plein processus de délitement. Comme s'il s'agissait d'un brouillard en train de se dissiper.

 

À l'extérieur de l'église, il y avait une statue de Marie (qui me faisait d'avantage penser à une vestale romaine) toute en noire et entourée de collones. J'eus le ressentiment qu'elle était toute sale et qu'elle s'ennuyait à mourir. Plus loin derrière la statue, un arc de triomphe en allignement parfait avec la statue.

 

Cependant, plus loin, il n'y avait plus de trace des illuminatis. Au contraire, tout était d'une pûreté incroyable. J'eus le ressenti que nous pénétrions dans un temple de Gaïa et c'était bien de ce dont il s'agissait.

Tout était vert. Mais pas un vert maladif. Un vert vif, vivant, gorgé d'eau saine. La présence des élémentaux était indubitable, même si nous n'eûmes pas de discussion avec l'un d'entre eux. Visiblement ce n'était pas prévu au programme.

 

Nous revîmes deux jours de suite. Le premier jour, nous allâmes jusqu'à une cascade impressionnante qui me semblait être le coeur (ou un des coeurs) du temple. La cascade en elle-même était minime, mais le décor était magnifique. Nous étions dans un amphithéâtre de nature avec un bassin en plein centre (voir les photos). Bardhena vint alors et après une courte cérémonie, elle nous mit au défi de nous mettre tout habillés sous la cascade afin de nous purifier, ce que chacun de nous présents à ce moment là avons fait avec plus ou moins de retenue (seuls Simon et Muriel étaient absents car en train de se reposer d'un long voyage).

Que dire d'autre sinon que la douche naturelle fut une expérience grandiose et très rafraichissante. Je ne pensais pas que l'eau serait aussi froide ! À vrai dire, je n'avais pas du tout songé à la température de l'eau.

 

Le deuxième jour, nous arrivâmes au complet vers 17 heure pour ne repartir que vers 20-21 heure. Nous visitâmes deux grottes. Toutes deux avaient des chemins y menant qui étaient parfois assez dûrs. Mais c'était exaltant alors personnellement je n'en ai pas de mauvais souvenirs.

Dans la première grotte, Bardhena nous fit entrer en harmonie avec la grotte, puis nous demanda nos ressentis qui se recoupaient à peu près dans les grandes lignes. Nous avions tous la sensation d'être protégés et d'être entourés d'élémentaux. Puis, Bardhena avertit Simon qu'il allait être mis en contact avec les nains, peuple dont il est issu, et qu'à partir de maintenant, il allait se mettre à canaliser des nains. Ce que Simon canalisa est dans son compte-rendu.

Le chemin de la deuxième grotte fut dur pour moi qui ai peur du vide. Il fallait emprunter un escalier en acier qui montait dans le vide à flanc de falaise. Cependant, je m'en suis bien tiré en appliquant un ressenti fort utile : la sensation de la terre sous mes pieds et le calme de la Terre. Traverser ce vide en valait la peine car elle était magnifique. Plutôt que de parler de grotte, il serait plus juste de l'appeler une cavité au fond de laquelle se trouvait une petite étendue d'eau autour de laquelle nous nous sommes posés. Bardhena ne m'expliqua pas la marche à suivre. Nous avons posé nos amis les crânes dans l'eau et je me suis mis à chanter seul. Ce n'était pas un chant banal, mais un chant que j'avais appris dans une autre vie de chamane et qui avait été engrammé dans mon ADN éthérique. Puis ce fut le tour de Thierry qui avait été mon assistant dans la vie où ce chant avait été engrammé. Une fois cela fait, on me donna la suite du programme.

Nous allions devoir chanter en canon. Je devais commencer à chanter, puis les autres devaient me rejoindre en chantant ce qu'ils voulaient, cela se fusionnant tout naturellement avec le chant principal. On pouvait s'arrêter quand on voulait. Puis recommencer si on le sentait. Tout le monde se mit à chanter plus ou moins fort au bout du compte, sauf Valérie qui se mit à pleurer.

 

Bardhena : Par le biais de ce compte-rendu, je vais expliquer le but de ce chant canonique.

 

Voyez-vous, l'humanité est semblable à un orchestre de voix. Chaque chant symbolise une vie, ou une âme. Chaque chant s'entremêle sans difficulté à l'ensemble car chacun a un rôle à jouer.

L'exercice consistant à reproduire en physique cet orchestre de chant permet de voir qui se sent à sa place dans sa vie, qui sait s'imposer de manière juste. Basiquement, l'un des premiers exercice est de savoir chanter fort. Plus l'on sait chanter fort avec passion dans la voix, et plus cela est un signe comme quoi on se sent à sa place.

Une fois que tous savent chanter avec passion et fort, vient l'exercice suivant où les voix s'harmonisent. Afin de créer une belle harmonie d'ensemble, chaque voix doit savoir écouter la voix des autres afin que la sienne ne fasse pas tâche d'huile. Que ce soit au niveau de l'intensité de la voix qu'au niveau mélodique.

Cela est un exercice d'ego. Chacun d'entre vous en a un. Mais il faut veiller à savoir le maîtriser pour que l'orchestre entier est une voix propre claire, nette et précise.

Ce n'est pas que tout le monde doive suivre la même musique. Chaque voix suit sa propre musique. Mais savez-vous accorder votre musique à celle de l'ensemble pour y apporter ce que vous seuls pouvez apporter ? Là est la question.

 

Apprenez à chanter. Même si vous ne savez pas chanter, faites le quand même.

 

Jonas : je me souviens au collège qu'en éducation musicale, j'étais le seul, à ma connaissance, à chanter fort. Tous les autres chantaient d'une toute petite voix, comme s'ils avaient peur de se faire remarquer plus que l'autre. Le résultat faisait qu'on n'entendait pas de mélodie.

 

Bref, cet exercice a fait remonter les peurs de Valérie qui nous dit alors qu'elle ne méritait pas ce qu'elle vivait. La peur de ne pas être à sa place. Cela était dû à ses parents qui l'avaient rejetée. Simon explique la suite dans son compte-rendu.

 

Nous sommes ensuite rentrés et nous sommes occupés de Valérie comme le décrit Simon. De tout ce travail fait avec Valérie sur elle-même, je retire plus que jamais à quel point tout le monde nous avons nos blessures en nous qui attendent d'être guéries. Des blessures parfois longues à cicatriser.

 

J'ai pu de nouveau m'observer dans mes réactions par rapport à Valérie face à ses blessures. Rétrospectivement, je me rends compte qu'émotionnellement, je me maintenais à distance afin de ne pas être blessé par sa souffrance. En résultat, je me rends compte que j'étais plutôt froid. Non pas que je ne voulais pas l'aider à se sortir de là. Mais si l'on refuse de compatir à ce qu'elle vit, on perd en efficacité pour l'aider à se sortir de là.

Bien sûr, personne ne peut se mettre à sa place et vivre ce qu'elle vit. Elle seule peut se guérir intégralement. Mais les autres peuvent l'aider en lui procurant du soutien.

Parce que je me maintenais à distance, mon soutien en a été diminué.

 

Pendant que j'écrivais ce compte-rendu (qui s'est étalé sur deux jours), j'ai eu la chance de parler avec Laura qui m'a canalisé Khubya. Celui-ci m'a mis une claque retentissante en me faisant voir à quel point j'étais dans le service à l'ego. Il m'a parlé entre autre de l'illusion de groupe, tout en ne me révèlant pas le coeur de la raison de cette illusion.

Avec cette mise au clair, je comprends mieux que Valérie ne peut s'en sortir que par elle-même avec sa propre volonté.

Quand elle allait mal, nous avons recréé son accouchement pour la réaccueillir en tant que bébé. Je ne dis pas que ça n'a pas apporté quelque chose. Je sens simplement que ça a pu avoir comme effet de la conforter sur le mode : "je me repose sur les autres pour m'en sortir". Je me rappelle que l'un des problèmes de base avec Valérie que nous avons trouvé était qu'elle comptait sur Thierry pour s'en sortir quant à son besoin de reconnaissance.

Au final, est-ce que cela a servi à quelque chose de l'entourer à ce point par rapport à ce problème "je me repose sur les autres qui me donnent de la reconnaissance."?

 

Une des choses que Khubya m'a éclairé par sa claque est que nous sommes à la base seuls face à nous-même. Ce n'est pas en groupe que nous progressons. C'est en travaillant tout seul sur soi-même. Je ne pense pas que le groupe est inutile, ce serait trop extrème. Mais dans le cas par exemple de Valérie, qui cherche la reconnaissance des autres pour se sentir acceptée, je ne pense pas que le groupe puisse l'aider car en lui donnant ce qu'elle cherche, on ne fait que la renforcer dans cette spirale la clouant aux autres. C'est de sa propre reconnaissance dont elle a besoin. Il m'apparaît qu'il faut la laisser chercher seule.

 

Quant à moi, le groupe ne peut que me nuire quant au fait que j'ai un ego dominateur qui cherche à se voir au-dessus de tout le monde. Khubya m'a montré que je me reposais sur Bardhena par phénomène d'identification à elle pour me sentir pus haut que les autres, mais qu'en fait je ne suis pas plus haut.

J'ai visiblement mal interprété sa phrase "Je suis toi et tu es moi."

Le groupe représente pour moi la tentation du dictateur sur les masses. Mais parce qu'il est une tentation, il représente aussi un énorme travail pour moi. Tout dépend de mon choix. Vais-je continuer à être au service de mon ego en me mettant au-dessus des autres ? Ou vais-je faire le choix de travailler sur moi et être en groupe pour justement m'efforcer de descendre de mon piédestal ?

 

C'est un grand paradoxe au final. Je ne peux qu'avancer seul. Pourtant, c'est au contact des autres que l'on peut s'entraîner. Le groupe représente un danger si l'ego y règne. Le groupe est un terrain d'élévation si on fait le choix de s'y entraîner spirituellement parlant.

 

Je me suis éloigné de la Franche Comté car je suis passé à un autre chapitre. Pour conclure sur la Franche Comté, et aussi globalement sur toutes les réunions faites jusqu'à maintenant, je me rends compte que j'y étais dans l'ego au-dessus des autres. Je ne pense pas pour autant que c'était inutile, ne serait-ce que parce que grâce à Khubya je peux maintenant voir mon comportement.

De plus, il y a eu tout de même des synchronicités qui montrent tout de même des progressions, ainsi que des événements particuliers.

 

Mais maintenant, il est temps de passer à autre chose de plus grand. Il n'est pas dit que j'y arrive, tout dépend de moi.

 

 

 

 

 

Compte rendu de la réunion du 26-27 Juillet 2014

 

Nous nous sommes rendus en Franche-Comté pour rencontrer Valérie et Thierry avec notre ami Patrick, nouveau venu dans le groupe et avec Romuald que nous avons récupéré au passage.

Le thème qui s’est imposé à nous était le travail sur le couple, et cela à commencé par le travail sur l’enfant Intérieur ci après dénommé E.I.

Il est ressorti des premières discussions que Valérie souffrait au niveau de son E.I d’un besoin de reconnaissance lié à la souffrance relationnelle parentale.

Quant à Thierry les blessures liés à la soumission dû aux blessures d’enfance, c’est le besoin de liberté et le fait qu’il estimait qu’il avait perdu une partie de sa liberté et qu’il avait été retiré de l’action.

Ce qui nous amena naturellement à exprimer les besoins de notre enfant intérieur.

Si pour Thierry il s’agissait de Joie et de danse, pour Valérie, c’est la reconnaissance qui apparu et pour Jonas, le besoin de voyager.

Pour cela nous avons appelé nos parents de cœur (qui ne sont pas forcément nos parents biologiques, mais des parents ou amis voire des EDL, car tout est possible, puisqu’il s’agit en dernier ressort de parties de nous-mêmes)

Pris en charge de cette façon, Jonas a pu faire quelque chose qui lui plait en accord avec ses parents, Thierry fît l’apprentissage de la vision de la vie avec l’amour dans les jeux qu’ils lui proposaient, et Valérie fût câlinée et sécurisée.

En résumé, c’est sous la protection et l’amour des parents de cœur que l’on regarde l’enfant Intérieur s’épanouir et grandir.

Le problème de relation de couple est dû aux faits qu’il fonctionne sur le mode liés aux blessures.

D’où l’intérêt de faire la recherche de l’E.I avec les parents de cœur pour passer de l’enfant blessé à l’enfant épanoui.

Ainsi l’E.I grandi dans la sécurité, l’amour la joie et la reconnaissance de qui il est.

Cette première phase nous à donc mené directement aux modules des « WINGMAKERS » dont vous trouverez ci-joint le lien. (ATTENTION cependant l’avertissement du texte n’est pas à prendre à la légère, laissez tomber si cela ne correspond pas à votre vibration, les effets sont très secouant !)

http://stopmensonges.com/wp-content/uploads/2014/07/JAMES-des-WINGMAKERS-le-souverain-int%C3%A9gral.pdf

Le travail sur les croyances notamment peuvent avoir un effet déstabilisant  et il est préférable de travailler en groupe ou à deux minimum.

 

La visite du Cirque de la consolation :

La beauté et la pureté du lieu est à couper le souffle, nous fûmes donc béni par le lieu qui nous accueillait.

Après avoir fait la connaissance du lieu et l’avoir remercié de nous accueillir, nous nous rendîmes à une grotte en sous-sol, où j’eu la surprise après une petite mise en bouche de préparation de Bardhena, d’avoir à canaliser les nains.

La surprise fût totale et il se passa un laps de temps avant que je ne puisse vraiment me brancher sur l’esprit Nain.

Pour autant que je me souvienne de mes propos, car j’ai laissé ma personnalité loin derrière, les nains ne sont pas les petits êtres folkloriques de nos mythes et légendes.

Ceux en tout cas que j’ai contacté ressemble plus (et c’est là que l’on ressent la pauvreté du langage humain) à des structures polyédriques de forme allongée (un peu comme un ver ou les polyèdres remplace les anneaux) pouvant atteindre les 8 mètres mais plus souvent 3 mètres, ils sont de couleur bleu métallique pour la plupart (je n’en sais pas plus).

Leur fonction est à l’image des décorateurs dans une pièce de théâtre, ils veillent à la solidité et à la beauté du décor en passant dans les structures (réalisés par les golems de terre, entités très puissantes et anciennes, mais dont la notion de temps  est adapté avec Gaïa).

De même, les nains n’ont pas la notion de temps des humains, bien qu’ils soient extrêmement rapide pour les golems !)

Ils sont responsables de l’agencement des gisements aurifères et cristallins, mais également de toutes les formes de roches et de terre, jusqu’au plus petit grain de sable !

En cette période de changement, ils sont en communication directe avec la grille cristalline pour lui envoyer l’énergie des métaux précieux ainsi que celle des minéraux précieux et semi-précieux, afin que cela profite à l’ensemble de l’Humanité, pas   seulement à une élite, car les plus gros gisements sont abrités hors de portée.

Ils ont annoncés de grands bouleversements de l’écorce terrestre puisque maman change de décor, et à cet effet, ils veilleront à ce que cela se passe du mieux possible.

Voila, je pense que j’aurais d’autres révélations à vous communiquer si le besoin s’en fait sentir, désolé pour Tolkien, mais  j’aime bien la saga du seigneur des anneaux quand même !

Voila, après le contact avec l’élément Terre, le groupe à eu pour mission de trouver à quel élément ils sont rattachés.

Après se contact, le groupe à poursuivi son périple en montant vers une grotte extrêmement vaste.

Nos amis cristallins immergés dans les eaux de la grotte, nous avons à l’inspiration entamés des chants, des danses, en fonction de la sensibilité de chacun.

Valérie à pu lâcher un certains nombres de ses schémas, et nous sommes rentrés de notre périple vers leur maison.

Là nous avons pris en charge, l’enfant Valérie afin qu’elle puisse revisiter son accouchement et ainsi obtenir les codes d’Amour lors de sa naissance ainsi que la reconnaissance du groupe, car elle fût accueilli individuellement par chaque membre.

Il en est résulté un travail avec le couple Thierry /Valérie sous forme de méthode du livre, fortement inspiré par Khubya au travers de  Muriel.

La première partie consiste à exprimer sur papier, le ressenti individuel par rapport à la famille, sa responsabilité et son investissement.

La deuxième partie exprime les souhaits dans la famille.

L’échange se fait sans que les partenaires en discutent, mais prenne connaissance des ressentis et des attentes de l’autre.

En troisième partie, chacun ayant visité la lecture de l’autre on passe à la phase de construction après la mise en commun de ce qui est possible en fonction de l’état d’esprit de chacun.

Il y a eu une intervention spécifique pour Thierry.

En résumé, il le mettait en garde contre la fuite, en le mettant devant sa responsabilité en lui précisant bien que tout était possible en fonction de son état d’esprit.

Il donna également des précisions sur le mode victime dans lequel se trouve Valérie.

Il demande à Thierry de rester neutre et d’accepter le rôle projeté de bourreau pour que Valérie puisse évacuer toute sa souffrance et aller au bout de son rôle de victime.

Après le départ de Jonas ,le groupe a partagé ses impressions sur le week-end passé ensemble et nous avons fait un travail collectif sur nos mamans respectives en appelant sa Présence Je Suis afin de lui rendre tout ce qui ne nous appartiens plus en gardant notre cercle et en déposant hors de ce cercle et sans rentrer dans le sien ,les paroles, actes et autres ressentis sur un tas, que nous avons transmuté en Lumière afin de nous libérer de tout ce qui nous relie de façon aliénante et non-constructive à elle.

Après ce dernier exercice, il était temps d’entamer le chemin du retour vers nos foyers respectifs.

Merci aux lieux, aux hôtes et à toutes les entités présentes lors de ce fabuleux et éprouvant séjour.

 

Coeurdialement Muriel et Simon